Ça y est, l’été est déjà à notre porte et il va falloir déjà préparer certains aspects pour pouvoir faire ses meilleurs barbecues. Pour l’été, en grande majorité, l’alcool préféré reste le vin rosé. Néanmoins, le vin rosé dispose de plusieurs déclinaisons qui sont parfois, malheureusement, inconnues du grand public. Dans cet article, nous allons donc tenter d’arranger cela et de vous proposer trois déclinaisons du rosé qui pourraient potentiellement vous plaire. Dans la majeure partie du temps, les trois vins rosé que nous allons vous proposer aujourd’hui sont trouvables facilement dans les grandes surfaces ou plus simplement, sur le web.
Le vin rosé-gris
Avant toute chose, le vin rosé-gris n’est pas un vin rosé classique. En effet, bien que la robe soit relativement identique, le vin rosé gris ou plutôt vin gris est très différent, tant sur le processus de fabrication que sur les goûts et les arômes que celui-ci dégage. Dans un premier temps, la vinification est très différente. Élaboré à partir d’un cépage de vin rouge, le vin rosé gris possède une vinification qui est très rapide. Une fois le raisin coupé, celui-ci est pressé et mis en cuve. Dans la majeure partie du temps, le processus de vinification ne dure que quelques heures, c’est aussi ce temps très court qui va permettre d’avoir une couleur très différente et des arômes complètements différents. C’est d’ailleurs pour cette raison que les vins rosé gris sont en général très sucrés, car il garde la sucrosité du raisin. D’ailleurs, si ce vin vous intéresse, n’hésitez pas à vous rendre sur https://www.chateauvirant.com/rose-gris.html pour en faire l’achat, vous n’en serez pas déçus. Bien sûr, le vin, comme toutes les autres formes d’alcool, est à consommer avec modération, l’abus de cette substance étant dangereux pour le corps.
Le vin rosé de pressurage
Là aussi, il s’agit d’un tout autre modèle de fabrication. Concrètement, si dans le rosé gris, les raisins de vin rouge étaient utilisés, là ce sont des raisins blancs. Pour vinifier ces vins rosés de pressurage, il suffit donc de presser les raisins de cépage blanc et de ne faire fermenter que le moût sans la peau. Cela permet donc d’avoir une coloration très différente. De surcroit, comme la peau du raisin n’est pas en contact avec le moût, cela permet aussi de créer de nouveaux arômes, moins fruités et plus sucrés. Ensuite, les viticulteurs ajoutent du jus de presse pour obtenir la couleur parfaite qui saura ravir les yeux, avant les papilles.
Le rosé de saignée
Pour conclure cet article, il était important de parler du rosé de saignée. Concrètement, il s’agit du même processus de fabrication que le rosé de pressurage, à un détail près : le moût reste en contact avec les peaux. Seulement pendant quelques heures, la peau reste en contact et donne donc une coloration bien plus foncée, à la limite du vin rouge. De manière générale, le rosé de saignée a un goût beaucoup plus prononcé et permet donc d’avoir des arômes nettement plus importants et plus accrus en bouche.